Ruki

Votre personnage :


Vrai nom : Matsumoto Takanori
Prénom : Ruki
Age: 25
Date de naissance: 01/02/1982
Origine/Nationalité: Japonais
Groupe sanguin: O



Description physique général : Ruki est quelqu’un de très fin. Très soigné. Sa carrure est plutôt mince, et son visage légèrement ovale. Au paravent, son teint était toujours parsemé d’un éternel sourire mais depuis quelque mois, il était pâle. Presque comme un mort. Il est aussi quelqu’un qu’il dit « normal » pour ses plus de 1m61. Il n’était pas lourd. Il avait d’ailleurs perdu beaucoup de poids, et de ce fait, ne se pesait plus. Qu’il prenne ou perde des kilos, de toute manière, peut importe, non ? Ses cheveux, eux, donnaient un effet blond, et à la fois brun. Ses pupilles brunes au regard devenu fixant lui donnaient un certain charme, bien que quelques personnes finissent par en prendre peur.

Signe distinctif : Sa chaine. Celle-ci laissait entre voir un pendentif en forme de croix parsemé de diamants.

Description vestimentaire : Le jeune Ruki avait toujours aimé tout ce qui faisait partie du cuir. La veste, le pantalon… Tout. Il portait souvent des bottes noires allant à mit genoux. Celles-ci étaient pour la plupart des chaussures de marques. Le noir et le rouge sont ses couleurs préférés. A part cela, il s’habille toujours assez classe et ne se gêne pas pour affirmer son style. Au niveau des mains, il portait constamment une, voir deux bagues habituellement orné de diamants de couleur blanche ou noir.


Caractère : Impossible de le décrire. C’est une personne très complexe et pourtant extrêmement simple. Au paravent, il était quelqu’un de très joyeux… Mais depuis, c’était devenue tout autre chose. Il se renfermait complètement du monde extérieur… Lui, qui ne supportait pas la violence, avait apprit à se battre. Ruki ne ferra jamais d’effort pour qui que ce soit. Il estimait que si quelqu’un avait envie de venir vers lui, et bien qu’il le fasse, mais c’était à ses risques et périls. « Une personne comme moi n’a jamais eut besoin de quelqu’un, et ce n’est pas maintenant que cela changera. » Il ne faisait pas attention aux autres, voir même les ignoraient. Ces personnes étant soit disant « barbante » pour ne pas être vulgaire. Il est aussi quelqu’un de très bien élevé. Très polis envers les personnes le méritant.

Sociabilité : Totalement antisociable. Très solitaire.


Aime: Il aime être seul. Jamais personne ne l’avait compris, même il y a quelques mois. Il aime se réfugier dans ses pensées, ses rêves… Malgré son éternelle « mauvaise humeur » il avait toujours pensé pouvoir vivre dans un monde meilleur et ce encore maintenant. Le seul moment où il pouvait paraitre bien, était lorsqu’il chantait. Il n’y avait rien de tel pour le détendre, et le retrouver quelques minutes plus tard allongé dans son lit, paisiblement, en dormant tel un enfant. Il aimait aussi beaucoup les chiens, et plus particulièrement les dangereux. En faite, il n’aime pas grand-chose à part… Se faire du mal.


N'aime pas : Il ne supporte pas la naïveté. Les gens Aux airs enfantins, simple, ou voir même qui se la jouaient gosse de riche l’énervaient au plus haut point. Il n’aime, et n’aimera jamais personne. Que ce soit une femme, ou un homme, il n’a jamais était attiré par qui que ce soit. Personne ne sait s’il est Hétéro, Bisexuel ou bien tout simplement Gay. Il n’aime pas non plus la sensation d’aliment dans sa bouche. Sa phobie était les araignées.


Histoire : Ruki avait été quelqu’un de très joyeux. Quelqu’un de facile à vivre, quelqu’un qui aimait faire rire, parler. Mais le Ruki dont nous parlons maintenant était devenue renfermé. Depuis son accident… Depuis le jour où cette voiture l’avait renversé… Ca c’était produit lors d’une nuit. Une nuit sombre où notre jeune homme avait décidé de prendre les vacances qu’il attendait depuis si longtemps. Il marchait, il marchait seul dans une rue habituellement peu fréquenté. La tête ailleurs, Ruki pensait. Il pensait à ses amis dont ceux de son groupe un sourire gigantesque sur les lèvres. Ce n’était pas pour rien qu’ils l’appelaient « le singe ». Il était toujours de bonne humeur, rien ne pouvait le contrarier. Ralentissant le pas, il sentit le vent se lever légèrement, et la lune commencer à apparaitre. Une douce fraicheur s’emparait de lui tant dit qu’il traversait une route. Celle de sa mort. Celle du Ruki que tout le monde connaissaient. Une voiture arriva à sa droite, et le percuta violemment. Le corps du jeune homme vint à percuter le par brise qui laissa jaillir d’énormes éclats de verre dans l’herbe. Quelques secondes plus tard, la voiture percuta un arbre et tua le conducteur sur le coup. C’était une jeune femme, 20 ans, pas plus, pas moins. Sa tête avait cogné le tableau de bord en face d’elle ce qui lui fendit littéralement le crâne. Pendant se temps, Ruki était allongé sur un lit d’hôpital, les jambes fracturées, le bras gauche cassé et une des vertèbres du coup en très mauvais état. Heureusement pour lui, son visage ainsi que quelques parties de son corps ne furent pas endommagé. Mais sa voix… Il avait perdu sa voix. Son séjour à l’hôpital fut un véritable enfer. Il était seul. Il ne savait avec quoi s’occuper. Personne n’était venu le voir… Ne serrais-ce que pour l’encourager, venir lui dire bonjour… Prendre de ses nouvelles. Non, personne n’avait eut cette gentillesse. De plus, il avait frôlé la mort, et se remettre d’un choc pareil fut horriblement difficile. Il avait tué cette femme, il avait signé son arrêt de mort alors qu’elle n’avait encore rien vu de ce qu’était la vie. Plus les jours passaient, plus il se renfermait sur lui-même. Le crie de la jeune « Mayura » mourante, résonnait sans arrêt dans sa tête. Il ne disait plus rien, il ne faisait plus d’effort. La rééducation de ses jambes eut été extrêmement dure. Il se disait qu’il n’avait plus rien à faire en dehors de ce bâtiment puant. Il était devenu quelqu’un de solitaire, quelqu’un qui n’avait plus besoin de personne, qui pouvait vivre sans affection particulière. Une fois cette partie de sa vie finie, il sortit de l’hôpital puis alla s’acheter un appartement dans une banlieue de Séoul. Il hésitait énormément à revenir à la SM. Personne là bas ne devaient être au courant de ce qu’il s’était passé. Du moins, c’est ce qu’il pensait, et espérait. On devait surement l’avoir oublié depuis tout ce temps non ? Il avait beau avoir retrouvé sa voix après quelques temps, il ne trouva rien d’autre à faire qu’apprendre à se battre. Lui qui détestait la violence avait apprit à se défendre, et c’était reposé dans ce milieu. Ce milieu qu’il n’aurait jamais pensé côtoyer ne serait-ce qu’une seule fois. Il avait apprit à aimer faire mal, aimer se faire mal. « On ne tue le mal que par le mal… » Disait-il sans arrêt. Après deux bonnes semaines de plus, il se décida à affronter ce qu’il redoutait. Toutes ces personnes qu’il croyait connaitre assez pour savoir qu’il pourrait compter sur eux. Seulement, il s’était promis plusieurs choses. Ne jamais montrer aucun signe de faiblesse et ne surtout pas se lamenter sur son propre sors. Il ne voulait pas que ces certaines personnes croit ne serait-ce qu’une seconde qu’il leur en voulait. Il voulait vivre comme avant, comme si rien ne s’était passé de tout ça, malgré son nouveau lui.

HJ : J’ai essayé de faire avec ce que vous m’avez dit mais bon… U.U M’en fou si ça vous va pas xD *Parle aux autres membres du groupe* Je vous fais passer pour des gros sans gêne dans mon histoire xD