Votre personnage :
Nom: Ohara
Prénom: Kazumasa (Shou)
Age : 19 ans
Date de naissance : 18 mai.
Origine/Nationalité : Japonais
Groupe sanguin : A positif
Description physique général : Sa peau était blanche, pâle. Inutile de dire qu’il paraissait très froid. Son visage était simple, aucune particularité mis à part ses yeux d’une noirceur incroyable. Son regard était profond. Sa bouche était légèrement pulpeuse, mais rien de bien extraordinaire. Ses cheveux, eux, était tout simplement parfait. Mi-long, d’un brun éclatant, et soyeux comme jamais. C’était bien la seule chose qu’il aimait. Il détestait son teint naturellement pâle, et ne supportait pas son simple sourire. Pour cause, il ne rigolait jamais, et ne parlait presque pas. Sa taille elle, était assez fine, mais n’avait rien à voir avec son caractère. Rien du tout même. Son corps en général était jolie, mais encore très simple.
Signe distinctif : Sa jambe gauche et son poignet droit. Tout deux ne sont pas fait d’os, ni de chaire, mais bien d’objets métalliques, laissant apparaitre plusieurs cicatrices.
Description vestimentaire : Cet homme a toujours était quelqu’un de très sombre, depuis sa plus tendre enfance. Pourtant le plus souvent des foulards de couleur noir autour du coup, ses pulls eux, (il ne portait que des pulls et jamais de tee-shirt ou quoi que ce soit d’autre) étaient de la même couleur. Ils descendaient souvent jusqu’à hauteur de ses fesses. Sa main droite portait toujours un gant tournant vers le brun. Il ne le quittait jamais, et quiconque avait la maladresse de vouloir lui enlever… Sa main gauche elle portait une bague en or qu’il n’enlevait jamais non plus. Ses pantalons étaient toujours très serrés c’était ce qu’on appelait des « slims ». Ils dévoilaient toujours extrêmement bien ses formes bien que lui ne trouvait pas forcément en avoir. Ses chaussures étaient souvent des bottes noires et parfois blanches, montant à mi-genoux par-dessus ses jeans.
Caractère : Il était quelqu’un de très étrange. Il ne riait jamais, ne souriait jamais, et ne parlait pas plus. A croire qu’il ne ressentait jamais aucun sentiment. Sa vie était toujours centrée sur ses gestes, et personne ne pouvait savoir ce qu’il pensait. Dans un sens, il s’était créé une sorte de barrière avec le monde extérieur. Il ne vivait que pour lui-même. Au diable les autres, lui était beaucoup plus important. Il n’avait jamais essayé de s’attacher à qui que ce soit, étant donné qu’il ne parlait pas. Il avait toujours été seul, et commençait quelque chose avec quelqu’un ne lui était même pas venu à l’esprit. Il était complètement fermé et ne comptait pas du tout changer. Son regard était vide de toute expression, son visage donné une impression d’absence constante. Il pouvait très bien apprécier quelqu’un et le regarder avec dégout. Il était tout simplement impossible à comprendre. Énervé, il est impossible de le contrôler. Gardant la plupart du temps un pistolet dans la poche intérieur de son blouson en cuir, il n’hésite pas à le sortir quand besoin est. Cet homme à toujours était quelqu’un dont il fallait se méfier. Il n’avait pas peur de la mort, et ne la chercher pas pour autant, mais la frôlait bien souvent.
Sociabilité : Ne parle jamais, et ne supporte pas qu’on lui dise ce qu’il doit faire.
Aime : Il aimait souffrir. Cette sensation qu’il avait à chaque fois qu’il allait voir son maitre était tout simplement… Divine. Il se faisait battre, le sang giclait en abondance, mais qu’est-ce que cela pouvait être bon. Il se faisait aussi sauter à tour de bras, et appartenait entièrement à cette personne qu’il haïssait pourtant énormément. Son maitre. Tout cela paraissait comme un moment de délivrance pour lui. Les cicatrices qu’il avait sur le corps ? Il s’en fichait complètement.
N'aime pas : Si je vous dis tout ? Tout sauf souffrir. Il n’aimait pas les animaux, il n’aimait pas les êtres humains, il n’aimait pas manger, boire, fumer… Rien ne le satisfaisait mis à part cette sensation qu’il aimait tant. Quoi que… Si. Il n’aimait pas qu’on l’emmerde ou qu’on le colle. Il était très solitaire et préférait rester à l’écart de toutes sortes d’énergumènes.
Histoire :
« Viens là ! »
Le jeune homme se trouvait déjà dans cet appartement. Depuis ses quatorze ans il vivait d’une certaine manière avec cet homme. Les cheveux courts, noirs, une couche épaisse de gel formant des pics, il ne devait pas avoir plus de dix-neuf ans. Son visage était magnifique, mais il était extrêmement sadique. Shuya
l’aimait énormément, mais le détestait tout autant. Il n’avait trouvé que lui pour l’aider. Il savait
pertinemment ce qu’il voulait et ne se faisait pas prier pour le lui donner.
« Oui maitre. »
Ces mots furent les seuls qu’il prononça durant toute sa vie. Ils le détruisaient tous les soirs, tous les jours, toutes les nuits… C’était devenu une sorte de drogue, et il adorait. Il était d’une certaine manière masochiste. Même, pas que d’une certaine manière, il l’était. Le mot « douleur » sonnait comme une douce mélodie à ses oreilles alors que « soins » le dégoutait. Chaque jour, il sentait la mort le gagner encore un peu plus… Mais tout s’arrêtait avant. Il reprenait des forces pendant quelques minutes pour mieux souffrir juste après. Il faut dire que s’il mourait, il ne pourrait plus sentir se sentiment d’abandon qu’il offrait à cet homme. Tout était là. Il voulait quelqu’un de plus fort que lui. Il haïssait tous les gens qui ne lui arrivaient pas à la cheville.
« Mange ! »
S’asseyant à la table en face de lui, Shuya avait maintenant seize ans. Il avait arrêté les cours, et restait constamment chez cet homme. Il ne disait rien, il encaissait, constamment. Les coups, les journées qu’il passait cloîtrer au lit à ne plus pouvoir s’en lever… Il les enchainés constamment, et son maitre avait maintenant vingt et un ans. Il subvenait à tous ses besoins, alimentaires et autres du moment qu’il lui obéissait. Ses parents n’avaient plus aucun contrôle sur lui. Il avait complètement coupé les ponts.
Cet homme lui suffisait bien. Il lui procurait son bonheur, alors pourquoi rester chez des gens que ne voyait en lui qu’un être déprimé, voir même fou ? Il avait toujours était quelqu’un de solitaire, et n’avait jamais connu de tendresse. Il ne vivait que pour la violence. Lui n’en faisait pas usage bien qu’il n’hésitait pas lorsqu’il se sentait menacé, mais en avait tous les honneurs. Tous les jours il sentait ce que procurait une hygiène de vie bien différente de celle connue. Il se sentait envahi de cette honte, cette honte qui le rongeait jour après jour, mais il aimait cette vie. Il n’y pouvait rien.
« Retourne-toi… »
Un an de plus passa. Il était dans ce lit. Celui qui se trouvait dans la chambre de son maitre. A moitié allongé sur lui. Il dormait. Ce qu’il ne faisait pas très souvent, mais il était totalement épuisé. Cela faisait maintenant une semaine qu’il ne l’avait pas laissé dormir. Il était mort de fatigue. Il ne tenait plus debout, et commençait sérieusement à être malade. Il avait de la fièvre, et était en sueur depuis quelques jours. Cela n’allait pas en s’arrangeant. Lorsque son maitre se réveilla après quelques heures, il ne le vit pas réveillé, ce qui était très improbable de sa part. Seulement, il ne pouvait pas l’emmener chez le médecin ni à l’hôpital. S’ils savaient ce qui se passait tous les jours dans leur vie, ils les obligeraient à arrêter, et il en était hors de question. Posant la main sur son front, il constata effectivement qu’il avait au moins quarante de fièvre. N’étant tout de même pas fou, il décida de le ménager durant quelques jours. Notre chère malade resta au lit pendant tout ce temps. Il reprenait des forces peu à peu… Cette maladie ne fut finalement pas bien grave, mais laissèrent encore quelques séquelles dans sa tête. Il n’avait encore jamais comprit pourquoi il l’avait laissé se reposer de cette manière. Il ne comprendrait surement jamais…
« Tout ça ne peut plus continuer. »
Effectivement, deux autres années passèrent, et son maitre ne pouvait plus assumer sa présence constante comme avant. Il ne pouvait plus vivre avec lui. Un autre mois passa, et le jeune homme cherchait désespérément une solution. Tombant sur une affiche accroché dans une petite ruelle mal famée, il la regarda quelques minutes puis ouvrit de grands yeux. Des capacités, il en avait énormément. Arrachant le bout de papier du mur, il rentra dans l’appartement de son maitre et s’inclina tout en lui tendant la chose. Entendant un léger rire alors qu’il avait la tête baissée, il ouvrit de grosses billes lorsqu’il entendit ces mots
« Comment tu pourrais réussir une chose pareil avec ton tempérament… »
Se relevant, il reprit sa mine habituelle, défiante et le fixa quelques secondes. Ouvrant la bouche lentement, il le regarda dans les yeux tout en lâchant avec un visage sans expression particulière
« Vous ne savez donc pas de quoi je suis capable maitre ? ».
Pour seule réponse, il eut un droit à un léger sourire en coin. S’inclinant à nouveau, il fit demi-tour en sortant de l’appartement. Habillé d’un foulard noir autour du coup, d’un pull noir et d’un pantalon blanc, il commença, enfin, sa véritable histoire… Chanter fut la seule chose qu’il fit en ouvrant la bouche de toute sa vie mis à part manger.
Petit plus : Ne jamais s’en approcher de trop prêt…
Vous
Prenom: Emma
Surnom: Euh... N'a trop xDD
Votre perso preferé des dbsk : Jae et euh... Xiah x)
Votre musique preferé des dbsk : Toutes *-*
Votre plus grand reve :Partir au japon -_-'...